LIVRES. La scène littéraire francophone accueille une nouvelle voix avec la parution de Le poids de l’amour, un ouvrage sensible et éclairant signé par Uruch Ibala et publié en 2024 aux éditions Librinovo. Ce livre de 123 pages, empreint d’humanité, s’inscrit dans une réflexion profonde sur la parentalité moderne et les réalités complexes auxquelles sont confrontés les parents d’aujourd’hui.
A travers un style accessible et bienveillant, Uruch Ibala aborde les multiples pressions sociales, les attentes parfois irréalistes entretenues par les médias ainsi que les défis émotionnels liés aux rôles familiaux. Elle propose au lecteur des pistes concrètes pour construire une parentalité authentique, équilibrée entre amour, responsabilité et respect de soi. «Être parent ne doit pas signifier s’oublier, mais apprendre à conjuguer don de soi et affirmation personnelle», souligne l’auteure.
Mère accomplie, Uruch Ibala est également CEO de l’association Papa Maman, fondatrice de la coopérative Femme engagée et secrétaire générale du club Naïn, qui vient en aide aux veuves et aux orphelins. Son engagement social, nourri par une profonde expérience humaine, transparaît dans chaque page de son ouvrage. Diplômée d’un master en sciences économiques et gestion, coach et conférencière à l’Avie-Business Academy, elle incarne cette nouvelle génération de femmes africaines qui allient rigueur intellectuelle, engagement citoyen et sensibilité personnelle.
La présentation-dédicace, dans les tous prochains jours, de Le poids de l’amour s’annonce comme un moment fort, où l’auteure partagera avec le public sa vision d’une parentalité libérée des carcans sociaux et ouverte à l’authenticité. Ce rendez-vous sera l’occasion d’échanges autour d’un thème universel, celui de l’amour parental, mais aussi d’une réflexion sur le rôle des femmes et des familles dans la société contemporaine.
Avec Le poids de l’amour, Uruch Ibala offre bien plus qu’un simple essai: un guide, un témoignage et un souffle d’espérance pour tous ceux qui cherchent à réinventer le lien parental dans un monde en mutation.
Gaule D’AMBERT/La Semaine Africaine